• Il manquait peu...

      

    Dimanche 13 Mars 2011    

     

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    Plus de 50 messages différés que j’ai envoyé à des ami(e)s lecteurs pour signaler mon billet sur l’accident nucléaire suisse de 1968 . En tout et pour tout, 2 commentaires… je ne peux pas dire que c’est un succès fou… C’était pourtant un sujet qui devait interpeller tout un chacun, personne ne pouvait rester indifférent.

    Bon, je suis un vieux rouspéteur, je le sais, tu ne t’intéresses pas à ce que j’écris, ok, je le comprends, mais comprends-moi à ton tour si je ne peux pas me retenir quand quelque chose me turlupine…

    Parmi ceux qui ont su apprécier mon article, sans toutefois ajouter un commentaire, il y a mamyblue : http://mamyblue022.blog.fr/2011/04/01/aujourd-hui-je-suis-la-mais-demain-je-sais-pas-ou-je-serais-10928080/Elle a même copié mon billet au complet, avec photo et blague. Merci mamyblue de m’avoir fait gagner des lecteurs, dommage que tu aies oublié de signaler l'origine.

    Et comme cette chose là - les risques de l’atomique - me turlupine vraiment, je ne peux m’empêcher de remettre une couche :

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    Il manquait peu pour que la Suisse

    soit un pays doté de la bombe atomique !    

    Voici ce qu’écrivait Susanne Boos rédactrice de la « Wochenzeitung » dans son article « Le nucléaire dans le monde » : 

     

    Une résistance historique

    Il y a encore une décennie, il était inconcevable de parler d’une nouvelle centrale nucléaire. Le lobby atomique semblait à l’agonie, traînant derrière lui une histoire rocambolesque: dans les années 1940, l’armée suisse avait en effet tenté de construire sa propre bombe atomique.

    A cette fin, l’industrie suisse conçut son propre type de réacteur atomique et le construisit dans les années 1960 à Lucens, dans le canton de Vaud. Ce réacteur aurait dû produire du plutonium. Mais quelques heures à peine après sa mise en marche, le réacteur fondit – il était heureusement situé dans une caverne rocheuse, ce qui empêcha une gigantesque contamination radioactive. Après ce flop, les entreprises du secteur de l’énergie achetèrent à l’étranger et firent construire deux réacteurs à proximité de Zurich (Beznau I et II, ayant chacun une capacité de 350 mégawatt; début de l’exploitation: 1965 et 1969) et un à proximité de Berne (Mühleberg, 355 MW; 1974). Il n’y eut pas d’opposition à l’époque. Dans les années 1970, les entreprises du secteur de l’énergie pronostiquèrent, tout comme aujourd’hui, que la Suisse serait bientôt à court d’électricité si on ne construisait pas au moins neuf centrales nucléaires supplémentaires ayant chacune une capacité de 1000 mégawatt. Deux d’entre elles – Gösgen dans le canton de Soleure (début de l’exploitation: 1978), et Leibstadt (1984) sur la frontière avec l’Allemagne à proximité de Waldshut – ont été construites. Mais il y eut une résistance active contre ces deux projets de construction. Le troisième projet, Kaiseraugst près de Bâle, fut combattu de manière si virulente qu’il dut être enterré en 1988, après des années de lutte.

    AccueilLa pénurie d’électricité annoncée n’a pas eu lieu; en fait, les fournisseurs d’énergie disposèrent d’un surplus de courant produit par les centrales nucléaires. Pour y répondre, ils motivèrent les propriétaires de maisons à installer des chauffages électriques – ce qui constitue sans aucun doute, d’un point de vue économique et écologique, la pire manière de faire usage du courant électrique. Après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, deux initiatives anti-nucléaires firent l’objet d’une votation en 1990: l’initiative “Sortir du nucléaire” et l’initiative en faveur d’un moratoire. La première, qui demandait que les centrales nucléaires existantes soient fermées “le plus vite possible”, fut rejetée. L’initiative pour un moratoire, qui stipulait que pendant 10 ans on ne pourrait planifier aucune nouvelle centrale nucléaire, fut par contre approuvée. Ce fut un grand succès pour le mouvement anti-nucléaire, mais cela contribua également à ce que ce dernier se désagrège officiellement.

    À la fin des années 1990, quelques organisations de protection de l’environnement tentèrent de réactiver à nouveau le thème et lancèrent deux nouvelles initiatives “ Sortir du nucléaire ” et “Moratoire plus”. Les deux initiatives échouèrent cependant dans les urnes (suite à une campagne pro nucléaire manipulatrice, omniprésente et extrêmement couteuse, Ndr).

    Les centrales nucléaires devaient cesser leurs activités il y a longtemps. La seule résistance qui ait perduré jusqu’à présent et qui fut aussi en mesure de récolter des succès considérables concerne la question du stockage des déchets radioactifs. À la fin des années 1960, un premier centre de stockage provisoire fut planifié dans le canton de Fribourg. La population s’y opposa toutefois, et le projet fut abandonné. À la suite de cela, une solution plus simple fit son apparition : jusqu’en 1982, la Suisse fit immerger des milliers de containers remplis de déchets radioactifs dans l’Atlantique Nord (ce qui est aujourd’hui interdit, grâce à la convention de Londres). Plus tard, la Suisse crut pouvoir résoudre le problème en se tournant vers l’étranger : les exploitants de centrales nucléaires envoyèrent leurs barres de combustible usagées pour les faire retraiter à Sellafield (Grande-Bretagne) et La Hague (France). Ils partaient du principe que les Britanniques et les Français garderaient ces déchets – jusqu’au moment où ces pays rendirent leur législation plus restrictive, obligeant tous les pays fournisseurs de déchets à reprendre ces derniers. Dans les années 1970, la Société coopérative nationale pour l’entreposage de déchets radioactifs (Nagra) – qui appartient aux exploitants suisses de centrales nucléaires – fut contrainte de cesser son travail. Elle avait pour mission de trouver un site de stockage définitif pour les déchets faiblement et moyennement radioactifs et un autre site pour les déchets hautement radioactifs. Mais partout où la Nagra apparaissait, des habitants indignés montaient aux barricades.Accueil

     

     

     

     

     

     

    Au même moment, l’opposition aux centrales nucléaires grandit. Afin d’apaiser les esprits, les autorités fédérales combinèrent l’autorisation d’exploitation de la centrale nouvellement construite de Gösgen au “Projet garantie”. Ce projet stipulait qu’ “avant la fin de 1985 un projet doit être soumis, donnant une garantie pour le traitement et le stockage sûrs (…) des déchets radioactifs”. Il indiquait que si “aucune garantie n’est donnée pour le traitement des déchets” dans les délais impartis, toutes les installations nucléaires devaient “éventuellement cesser leurs activités, voire même être fermées”. Bien que le “Projet garantie” n’ait jamais été mis en œuvre, les centrales nucléaires continuent de fournir du courant électrique. Au milieu des années 1980, la Nagra croyait avoir trouvé un lieu adéquat pour entreposer des déchets faiblement et moyennement radioactifs au Wellenberg, dans le canton de Nidwald, en Suisse centrale. Mais c’était sans compter avec l’opposition de la population. Après un dur combat de plusieurs années, les opposants au dépôt arrachèrent un droit de codécision. En 1995, les Nidwaldiens purent se rendre aux urnes et infligèrent un revers à la Nagra.

      

    Je suis certain, si on posait la question aujourd’hui au peuple suisse, s’il faut quitter le nucléaire il dirait oui en majorité. Bon, la politique étant ce qu’elle est, il nous faut attendre que les esprits se calment avant que la question puisse être posée… dommage !

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    La Hague : Demolition des Reaktors UP 400

     -   Und dann, wohin gehst Du ?

    -   Weiss nicht, ich vertraue meinem Agenten.

     

     

    Sonntag 13. März 2011    

     

     

    Ich habe mehr als 50 persönliche Mitteilungen an meine Leserinnen und Leser versandt um sie auf mein Billet über den nuklearen Unfall von 1968 in der Schweiz augmerksam zu machen. Im grossen und ganzen habe ich darauf 2 Kommentare gekriegt… ich kann nicht sagen dass dies ein enormer Erfolg war… Es war doch ein Thema das jeden hätte ansprechen sollen.

    Ich weiss, ich bin ein ewige Nörgeler, ich weiss, Du interessierst Dich nicht immer über das was ich schreibe, ok, das kann ich verstehen, verstehe Du mich aber auch, wenn ich mich nicht zurückhalten kann, wenn mich etwas nicht in Ruhe lässt…

    Unter denjenigen die meinen Artikel zu schätzen wussten, ohne zwar einen Kopmmentar abzugeben, gibt es mamyblue :

    http://mamyblue022.blog.fr/2011/03/30/c-est-arrive-en-suisse-10918639/

    Sie hat mein Billet sogar vollständig kopiert, mit den Fotos und dem Witz. Danke mamyblue dass Du mir geholfen hast Leser zu finden, schade dass Du vergessen hast die Herkunft anzugeben...

    Und, da diese Sache - das atomare Risiko - mich nicht in Ruhe lässt, kann ich mich nicht zurückhalten noch eine Lage beizufügen :

     

    Es fehlte nicht viel, dass die Schweiz

    zu einem Land mit Atombombe wurde !

    Siehe was Susanne Boos, Redakteurin der « Wochenzeitung » in ihrem Artikel « Das nukleare in der Welt » : 

     

    Ein historischer Wiederstand

    Noch vor einem Jahrzehntel, war es unvorstellbar gewesen von einer neuen Atomzentrale zu sprechen. Das nukleare Lobby schien im Sterben zu liegen, hinter sich die fantastische Geschichte der 40er Jahre ziehend, als die schweizer Armee versuchte ihre eigene Atombombe zu bauen.

    Zu diesem Zweck konzipierte die schweizer Industrie einen eigenen Typ von Atomreaktor, den sie 1960 in Lucens, Kanton Wadt, baute. Dieser Reaktor hätte Plutonium, erzeugen sollen. Aber schon einige Stunden nachdem er in Funktion getreten ist, ist er geschmolzen – zum Glück befand er sich in einer Feksgrotte, was eine gigantische radioaktive Verseuchung verhinderte. Nach diesem "flop" kauften die Unternehmen des Energiesektors, Reaktore im Ausland und liessen sie in der Nähe von Zürich aufbauen, (Beznau I und II, von je  4350 Megawatt Kapazität; Beginn der Nutzung : 1965 und 1969 und einer in der Nähe von Bern (Mühleberg, 355 MW; 1974). Damals gab es keinen Wiederstand. In den Jahren 1970, prognostizierten die Energieunternehmen, wie heute, dass die Schweiz bald an Elektrizität fehlen werde, wenn wir nicht mindestens neun zusätzliche Atomzentralen von je einer Kapazität von 1000 Megawatt bauen. Zwei wurden gebaut - Gösgen im Kanton Solothurn  (Beginn der Nutzung : 1978, und Leibstadt 1984) auf der Grenze mit Deutschland in der Nähe von Waldshut. Es gab aber aktiven Wiederstand gegen diese zwei Bauprojekte. Das dritte Projekt, Kaiseraugst bei Basel, wurde so heftig bekämpft, dass es 1988 beerdigt werden musste, nach Jahrelangfem Kampf.

    Der provezeite Energiemangel hatte nicht stattgefunden; tatsächlich befanden sich die Energieerzeuger im Besitze von einem Überschuss von Strom Dank der Atomkraftwerke. Um diesen zu platzieren, motivierten sie die Hausbesitzer auf elektrische Heizung umzusatteln – was, ohne Zweifel - aus ökonomischer und ökologischer Sicht, die schlechteste Art ist den elektrischen Strom zu gebrauchen. Nach der nuklearen Katastrophe von Tchernobyl, wurden zwei antinukleare Initiativen dem Volk zur Abstimmung unterbreitet. 1990 die Initiative “Raus aus dem Nuklearen” und die Initiative für ein Moratorium. Die erste verlangte, dass die existierenden Zentralen "so schnell als möglich" geschlossen werden wurde verworfen. Die Initiative für ein Moratorium stipulierte, dass während 10 Jahren keine neue nuklearte Zentrale geplant werden dürfe wurde hingegen angernommen. Es war ein grosser Erfolg der antinuklearen Bewegung, bewirkte aber auch, dass dieselbe sich offiziell zersetzte.

    Ende 1990, haben einige Naturschutzorganisationern versucht das Thema neu zu aktivieren indem sie zwei neue Initiativen lancierten, “Raus aus dem nuklearen” und “Moratorium plus”. Beide Initiativen sind aber an den Urnen gescheitert (nach einer kostspieligen pro nuklear manipulierten Kampagne, allgegenwärtig und extrem teuer. NdR ). 

    Die nuklearen Zentralen hätten ihre Aktivität längst einstellen sollen. Der einzige Wiuederstand der bis heute fortgedauert hat und der auch in der Lage war bemerkliche Erfolge zu erzielen, ist deerjenige gegen die Lagerung der radioaktiven Rückstände. Ende 1960 wurde ein erster, provisorischer, Lagerort im Kanton Freiburg planifiziert. Die Bevölkerung hat sich dagegen gewehrt und das Projekt wurde fallen gelassen. Infolge dessen erschien eine einfachere Lösung : bis 1982, liess die Schweiz tausende mit radioaktiv verseuchtem Abfall gefüllte Container im Nordatlantik versenken (was heute dank dem Londoner Abkommen verboten ist). Später glaubte die Schweiz das Problen lösen zu können, indem sie sich ans Ausland wendete : die Nutzer der nuklearen Zentralen sandten ihre gebrauchten Brennstoffstangen zur Wiederaufbereitung nach Sellafield (Grossbritanien) und nach La Hague (Frankreich). Sie gingen davon aus, dass die Engländer und die Franzosen den Abfall behalten würden, bis diese zwei Länder ihre Gesetze verschärften, und alle liefernden Länder zwangen ihren Abfall zurückzunehmen.  In den Jahren 1970, war die nationale Genossenschaft für die Lagerung radioaktiver Abfälle (Nagra) – welche den schweizer Nutzern der nuklearen Zentralen gehörte – gezwungen ihre Arbeit einzustellen. Ihre Mission war, für leicht und mittelmässig verseuchte Abfälle einen definitiven Lagerplatz zu finden und einen anderen für hoch radioaktiven Abfall. Aber, überall wo die Nagra auftauchte, sind die empörten Einwoihner auf die Barikaden gestiegen. 

    Gleichzeitig vergrösserte sich der Wiederstand gegen dier nuklearen Zentralen. Um die Geister zu beschwichtigen, haben die Schweizer Autoritäten die Bewilligung zur Nutzung der neugebauten Zentrale von Gösgen dem "Garantieprojekt" unterstellt. Dieses Projekt stipulierte, dass “vor Ende 1985 ein Projekt mit der Garantie einer sicheren Behandlung und Lagerung der radioaktiven Abfälle versehen sein müsse" (…)  Es stipulierte auch, dass wenn “keine Garantie der Behandlung der Abfälle" innert den gegebenen Fristen gegeben wird, "alle nuklearen Installationen ihre Tätigkeit eventuell einstellen, ja sogar schliessen müssen”. Trotzdem, das "Garantieprojekt" nie in Gang gesetzt worden ist, liefern die nuklearen Zentralen weiterhin ihren Strom. Mitte der Jahre 1980, glaubte die Nagra einen angemessenen Lagerplatz für leicht und mittelmässig verseuchtem Atomabfall, in Wellenberg, im Kanton Nidwalden in der Zentralschweiz gefunden zu haben. Das war aber ohne mit dem Wiederstand der Bevölkerung zu zählen. Nach einem harten Kampf von mehreren Jahren, erreichten die Gegner des Lagers das gemeinsame Entscheidungsrecht. 1995, konnten die Niedwalder zur Urne gehen und der Nagra eine Niederlage zufügen.

    (Meine Übersetzung, entschuldige eventuelle Irrtümer. Erwin Junker)  

    Ich bin überzeugt, wenn man dem Schweizervolk heute die Frage stellen würde, ob wir das nukleare verlassen sollen würde es mit grosser Mehrheit ja sagen. Na gut, lassen wir die Politik das sein was sie ist, und warten wir, bis sich die Genüter beruhigt haben bis die Frage gestellt wird... Schade !

     

     

    « Accident nucléaire en SuisseL'été du printemps... »

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  • Commentaires

    1
    fantomettes Profil de fantomettes
    Dimanche 3 Avril 2011 à 15:38

    tu pourrais répondre à tes messages " rouspéteurs....!

    2
    erwinbibi Profil de erwinbibi
    Dimanche 3 Avril 2011 à 16:19

    Coucou Fantomettes,


    avec un "s" serais-tu plusieurs ? Une fantomette"s" ça fait drôle...


    Quoi qu'il en soit, excuse moi, mais en tant qwue véritable rouspèteur j'avais mis les choses au point dès le départ de ma vie blogosphérique, il y a de cela bientôt cinq ans... J'avais dit qu'il ne fallait pas s'attendre à ce que je dise des couc ous de ci de la à tire-la-rigault, que je mettrais un commentaire uniquement si j'avais quelque chose à dire au sujet du billet...  On mets des billets avec des textes en espérant qu'il y aura des lecteurs qui se sentent touchés, qui répondront, soit qu'ils sont d'accord avec moi, soit qu'ils sont contre, en disant pourquoi...


    Tu vois, jer ne suis pas seulement un vieux rouspéteur, mais aussi un rouspéteur chiant... excuse moi...


    CEci étant dit, je lis tous les commentaires et je suis heureux de les lire, mais je ne répondfs que si j'ai quelque chose à dire. Pour se faire des coucous et des saluts, bon lundi, bon mercredi etc, il y a facebook...


    Pas fachée, ma fantomettes ?  Ne profite pas pour me laisser tomber en ces temps de disette, tu es presque ma seule et unique correspondante !


    Avec un grand bisou - pour me donner des frissons -  tu penses, un bisou à un fantôme... Bonne fin de dimanche, ciao !


    Erwin


    paquerettesj'ai cueillis ces paquerettes derrière de chez moi, pour te dé-fâcher...

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    3
    fantomettes Profil de fantomettes
    Dimanche 3 Avril 2011 à 22:23

    bon.....ça ira pour cette fois...!

    4
    fantomettes Profil de fantomettes
    Dimanche 3 Avril 2011 à 22:29

    et oui, fantomettes avec un s parce que sans le s était déjà pris....

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