• Jeudi  28 novembre 2013 

    à 09h50 j'ai 1° sur mon balcon 

    Ciel bleu

     

    Là-haut sur la montagne (copie)

    Coup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

     

     

    Je continue avec les extraits du recueil que j’ai fait pour mes petits-enfants, ("Raconte Grand-papa, raconte…") Déjà publié dans mon blog "WordPress" le 5 avril 2010. 

     

     

    Là-haut sur la montagne (copie)

     C'est moi, prêt à grimper

    Là-haut sur la montagne

    Papa était écologue avant la lettre, il aimait la nature, ce n’est pas par hasard que son premier métier avait été forestier, garde-chasse en Russie, avant de venir en Suisse.

    Là-haut sur la montagne (copie)Le voici, étanchant une soif énorme, avec son ami Walter au bois de Finges. 

    Avec les beaux jours nous allions régulièrement, toute la famille, picniquer dans le bois de Finges. Nous n’avions pas de voiture, en ce temps-là très peu de gens pouvaient se payer une voiture, c’était du luxe. Surtout les médecins, commerçants et autres "richards" en avaient. Aussi, nous partions toujours à pied, c’était tout à fait normal, nous ne connaissions pas autre chose. Quelle chose merveilleuse que de jouer aux indiens ou à cache-cache dans cette forêt mystérieuse, elle me semblait énorme. De temps en temps nous partions pour de plus grandes randonnées le samedi et dimanche.

    Je me souviens d’une promenade dans le vallon de Réchy. Depuis Sierre nous grimpions jusqu’à Vercorin en passant par Chippis et Brie.

    À Vercorin papa s’était attardé chez des connaissances, aussi avions nous continué notre chemin en  direction des alpages avec bien du retard et la nuit nous avait surpris en pleine forêt, sans que nous ayons trouvé une grange pour y dormir. Pourtant l’alpage ne devait pas être bien loin, nous entendions les cloches des vaches égrener leur mélodie, comme si elles nous narguaient ! Il faisait nuit noir. C’était une nuit sans lune et la forêt était très dense. Papa décida de camper dans une petite clairière, à même le sol, sur des branchages, nous n’avions aucun matériel de camping.

    Ce fut une longue nuit, peuplée de fantômes. J’avais très peur, comme ma sœur Hertha, surtout que notre frangin Hubert nous avait fichu la trouille en nous disant qu’il entendait quelqu’un roder, que c’était sûrement un lynx…

    Au lever du jour nous avons découvert, pas bien loin de notre campement un magnifique raccard, plein de foin tendre. Pour sûr que nous y aurions mieux dormi que sur les branches qui nous servaient de matelas !

    Nous avons poursuivi notre promenade le long d’un bisse jusqu’au fond du vallon de Réchy. En fin d’après-midi c’était le retour pour Sierre en suivant des raccourcis qui dévalaient la pente raide jusqu’en plaine.

    Une autre promenade est restée gravée dans ma mémoire, celle qui nous avait amenés au Petit Bonvin, une montagne au dessus de Montan. Par des sentiers escarpés nous avons grimpé jusqu’aux alpages en dessus de Vermala, en passant par Veyras, Venthône et Randogne.

    Après la lisière de la forêt, à près de 2000 mètres d’altitude nous nous sommes arrêtés pour la nuit. Nous montons la tente que papa avait fabriquée avec des bâches de récupération et des tubes en aluminium en faisant une prière pour qu’il ne pleuve pas. Papa nous avait fait la leçon; il ne Là-haut sur la montagne (copie)fallait en aucun cas toucher la bâche s’il pleuvait sinon l’eau allait traverser… Me voici, avec mon petit frère Max, devant cette fameuse tente.

    Dans les braises du feu de camp nous avons grillé des cervelas et des patates, j’avais l’impression de n’avoir jamais rien mangé d’aussi bon ! Pour étancher notre soif nous avions de la limonade de sureau. Maman la faisait elle-même avec les fleurs de sureau que nous cueillions le long de la voie du chemin de fer.

    Nous n’avions ni sacs des couchage ni matelas pneumatique ces trucs étaient un luxe inconnu pour nous. Cela ne nous a pas empêché de passer une excellente nuit, la fatigue nous avait rapidement fait trouver un sommeil réparateur.

    Là-haut sur la montagne (copie)

    Le "Petit Bonvin" à droite et le "Grand Bonvin"  à gauche

    Cette photo et la suivante sont du "Net"

    Le froid, assez vif à cette altitude, nous réveillait de bonne heure. Pendant que papa préparait le petit déjeuner nous courrions à la rencontre du soleil qui descendait les pentes de la montagne.  Après quelques tartines à la confiture et un bon gobelet de lait chaud nous continuons notre ascension du "Petit-Bonvin".

    Quelle sensation formidable d’être au sommet de cette montagne et de voir, très loin là-bas le fond de la vallée du Rhône, Sierre et son clocher ! Ce sont des plaisirs qui sont intimement liés à ma jeunesse. Combien aurais-je aimé transmettre ces sensations à mes enfants et petits-enfants… 

    Un autre souvenir, ineffaçable, une promenade au sommet du Corbetch et à Chandolin. Cette fois c’est avec une équipe de copains. À l’aube nous sommes partis en direction du bois de Finges. Au début de la route d’Anniviers nous empruntons le sentier du chemin de croix qui nous mène à la chapelle de St Antoine. Je ne me  souviens pas si j’ai fait une prière à chaque station, c’est fort possible, cela faisait tellement du bien de s’arrêter un peu pour reprendre notre souffle, la montée est fort raide. Depuis le sommet du Corbetch (la montagne qui surveille l’entrée du val d’Anniviers) nous suivons le sentier qui longe la crête jusqu’à Chandolin. Sentier qui surplombe l’Illgraben, des gorges sauvages, striés par l’érosion, presque irréel, comme dans un autre monde.

    Là-haut sur la montagne (copie)

    De Chandolin la vue sur toute la région est magnifique; Montana de l’autre côté de la vallée du Rhône, Vercorin, St Luc et même le Cervin s’offrait à nos yeux émerveillés !

    Aux examens de fin d’apprentissage j’ai choisi cette promenade pour faire une composition, elle m’avait valu un premier prix; un magnifique livre sur le Valais – livre que j’ai malheureusement vendu, un jour de disette…  

    Ils sont restés chers à mon cœur, mes sentiers valaisans !

    Là-haut sur la montagne (copie) 

                     Ici nous sommes en route pour Lens et Montana, ma soeur Herta et mon frère Max,                                                                 c'est papa qui prend la photo

     

    Donnerstag, 28. November 2013 

    um 09h50 habe ich 1° auf meinem Balkon 

    blauer Himmel

     

    Ich setze die Auszüg aus meinem Büchlein "Erzähle Opa, erzähle…" das ich für meine Kleinkinder gemacht habe fort. Schon veröffentlicht in meinem Blog "WordPress" am 5. April 2010.     

     

    Dort oben, in den Bergen 

     

    Papa war Ökologe bevor man überhaupt von Umweltschutz redete, er liebte die Natur, es ist kein Zufall, wenn Förster sein erster Beruf war, in Russland, bevor er in die Schweiz kam. Auf obiger, ersten, Foto siehst Du wie er, mit seinem Freund Walter, im Pfynwald einen Riesendurst löscht. 

    Bei schönem Wetter, sind wir regelmässig, die ganze Familie, zum Pick-nick in den Pfynwald gegangen. Wir hatten kein Auto, dazumal konnten sich nur wenige ein Auto leisten, es war ein grosser Luxus. Vor allem
    Geschäftsleute, Ärzte und weitere reiche Leute hatten ein Auto. Somit machten wir unsere Ausflüge immer zu Fuss, es war etwas ganz normales, wir kannten nichts anderes. War das wunderbar, in diesem mysteriösen, grossen Wald, "Indianerlis" oder Versteckis zu  spielen, er kam mir Riesengross vor. Von Zeit zu Zeit machten wir auch grössere Wanderungen, am Samstagnachmittag und Sonntag – dazumal musste Papa, wie die meisten Leute am Samstagvormittag noch arbeiten.
     

    Ich erinnere mich an einen Ausflug ins Réchytal. Von Siders nach Vercorin, über Chippis und Brie. Là-haut sur la montagne (copie)

    In Vercorin hat Papa Freunde getroffen, deshalb setzten wir unsere Route in Richtung der Alm, wo wir übernachten wollten,  mit grosser Verspätung fort.  Die Nacht überfiel uns, mitten im Wald, bevor wir eine Scheune zum Schlafen gefunden hatten. Die Alm musste nicht mehr weit entfernt sein, wir hörten die schönen Melodien der Kuhglocken, als ob sie uns neckten ! Es war stockfinstere Nacht. Eine Nacht ohne Mondschein und der Wald war sehr dicht. Papa beschloss, dass wir in einer kleinen Lichtung übernachten werden. Wir hatten kein Camping Material ausser einiger Wolldecken. 

    Es war eine lange Nacht, voller Gespenster. Meine Schwester und ich hatten grosse Angst, unser Bruder Hubert schürte diese Angst indem er uns sagte, dass er höre wie jemand um unser Lager kreiste, es sei sicher ein Luchs… Am Morgen, sahen wir, unweit von unserem Lager, eine wunderbare Scheune voller weichem Heu. Sicher hätten wir dort besser geschlafen als auf dem harten Boden ! 

    Nach dem Morgenessen ging’s weiter, dem Biss entlang, bis ins Rechytal hinein und am Ende des Nachmittags über steile Abkürzungen zurück in’s Rohnetal. 

    Ein anderer Ausflug ist in meinen Erinnerungen haften geblieben, er führte uns auf den Gipfel des "Petit Bonvin", ein Berg oberhalb Montan. Über abschüssige Wege stiegen wir bis zu den Almen oberhalb Vermala, über Veyras, Venthône und Randogne. 

    Nach der Waldesgrenze, um ca 2000 Meter Höhe, machten wir Halt um zu übernachten. Unter Papas Anleitungen bauten wir das Zelt auf. Zelt das Papa selber hergestellt hatte, mit  Abfallstoffen und Aluminiumröhren. Dabei machte ich ein Gebet, damit es nicht regnen wird,  Papa hatte uns erklärt, dass wir das Zeltdach, wenn es regnete, nicht berühren durften, da der Regen sonst durchdringt… Auf obiger Foto bin ich mit Max vor unserem Wunderzelt. 

    In den Gluten unseres Lagerfeuers haben wir Cervelas und Kartoffel gebraten, ich hatte das Gefühl noch nie so was gutes gegessen zu haben ! Um unseren Durst zu löschen hatten wir Limonade die Mama aus Holunderblüten herstellte. Holunderblüten die wir in den Sträuchern, dem Bahngeleise entlang, pflückten. Wir hatten weder Schlafsäcke noch Matratzen, unbekannter Luxus für uns. Was uns aber nicht hinderte eine angenehme Nacht zu verbringen, die gesunde Müdigkeit hat uns rasch den reparierenden Schlaf finden lassen.

    Die heftige Kälte hat uns früh morgens aufgeweckt. Während Papa das Frühstück vorbereitete sind Max und ich der Sonne, die langsam den Berg herunter gleitete, entgegen gesprungen.  

    Nach einigen Schnitten Brot mit Konfitüre und einem grossen Becher heisser Schokolade haben wir die Bezwingung des "Petit-Bonvin" fortgesetzt. 

    Welch ein ungeheures Gefühl auf dieser Bergspitze, die wir bezwungen hatten, zu sein und weit unten, im Rhonetal, Siders und seine Kirche zu sehen ! Das sind riesige Freuden die mit meiner Jugendzeit verbunden sind, die ich so gerne meinen Kindern  weitergegeben hätte… 

    Eine andere unauslösliche Erinnerung, ein Spaziergang auf den Gipfel des Corbetch und Chandolin. Diesmal war es mit einigen Là-haut sur la montagne (copie)Schulkameraden. Früh Morgens ging’s los, Richtung Pfynwald. Bei Beginne der Strasse ins "Val d’Anniviers" haben wir den Kreuzweg "St. Antoine" genommen. Ich erinnere mich nicht, ob ich an jeder Station ein Gebet gemacht habe, es ist gut möglich, wir waren so froh ein wenig ausruhen zu können, denn der Weg geht steil bergauf. Vom Gipfel des "Corbetsch" – der Berg der den Eingang ins Einfischtal bewacht – ging's weiter nach Chandolin. Lins sahen wir den Illgraben, eine sehr wilde Schlucht von Erosion gegraben, unwirklich, wie in einer anderen Welt. 

    Von Chandolin aus  hat man eine wunderbare Aussicht, rechts auf Montana und links auf Vercorin, St Luc und sogar auf das Matterhorn ! 

    Ich habe diesen Bericht in einem Aufsatz im Abschlussexamen meiner Lehre aufgeführt, und damit einen ersten Preis – ein schönes Buch über die Walliser Berge – erhalten, Buch das ich leider später verkauft habe, als ich das Geld bitter nötig hatte…

    Die Walliserwege sind meinem Herzen treu geblieben !

     

    Là-haut sur la montagne (copie)

     

     


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  • Dimanche 24 novembre 2013 

    À 10h30 j'ai 3° sur mon balcon 

    couvert

     

    humour encore 

    Coup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

    H U M O U R

     

    humour encore

     

    humour encore

     

    humour encore

     

    humour encore

     

    humour encore

     

     

     

     

    Sonntag, den 24. November 2013

    Um 10h30 habe ich 3° auf meinem Balkon 

    bedeckt

     

     

    humour encore

     

    -   Cela m'est complètement égal que votre voiisin est paralysé ou bien il saute maintenant, ou il brûle! 

    humour encore

    -   Toi tu pardonnes tout. Moi j'oublie tout. finalement ça revient au même.  

     

     

    humour encore

    -   Sollten sie einmal einen Advokaten benötigen,

    wir haben mehrer Millionedn davon bei uns...

     

     


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  • Vendredi  22 novembre 2013 

    à 09h31 j'ai 1° sur mon balcon 

    Légèrement couvert 

     

    Cache-cache

    Coup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

     

    Depuis mardi passé je rafraîchis ici même quelques-uns de mes premiers billets dans la blogosphère:

     

     Cache – cache 

    Presque tous les gamins du quartier nous avions l’habitude de nous retrouver le soir, soit derrière l’église ou au jardin publique pour jouer.

    Cache-cacheSouvent nous étions plus d’une vingtaine de garçons et de filles à jouer à cache-cache, délivrance ou autres jeux aujourd’hui presque oubliés. 

    On aimait bien jouer à délivrance, une variante du jeu de cache-cache. On pose une boîte de conserves vide dans un cercle dessiné parterre, on la shoote au loin et un des joueurs doit la chercher et la reposer dans le cercle. Pendant ce temps tous les autres joueurs vont se cacher et le chercheur doit les retrouver. Ceux qui sont découverts forment une chaîne en se donnant la main, la chaîne s’allonge au fur et à mesure que des joueurs sont découverts. Si un des joueurs caché, arrive à toucher la main du dernier de la chaîne, sans être découvert, tous les prisonniers sont délivrés et peuvent de nouveau se cacher. La boîte est à nouveau expédiée au loin et le jeu recommence. Cela pouvait durer fort longtemps, il n’était pas rare que seul la nuit arrivait à interrompre le jeu. 

    Chaque quartier avait son équipe de copains qui se retrouvait ainsi. Sans vouloir être Cache-cachemoraliste, mais on s’amusait vraiment sainement.

    Chaque équipe avait son repaire, le notre se trouvait dans la grange du laitier. Nous  avions creusé des tunnels dans le foin, tunnels qui menaient à notre cache, une énorme caisse enfouie sous l’herbe séchée. Nous trouvions toutes sortes d’astuces pour décourager les recherches de nos "adversaires". Je me souviens, qu’un de ces couloirs passait sur une trappe qui donnait dans l’écurie en dessous, nous en avions camouflé l’ouverture avec du foin afin que l’attaquant tombe dans la crèche du cheval !

     

    Les jeunes d’aujourd’hui "loupent" vraiment quelque chose ! 

    Que vont-ils raconter plus tard à leurs petits-enfants ?

    Le prix de leurs appareils de jeux électroniques… Dommage ! 

     

     

    Cache-cache

     

     

      Toutes les images sont du net. 

     

    Freitag, den 22. November 2013

    Um 09h31 habe ich 14° auf meinem Balkon 

    Leicht bedeckt 

     

    Versteckis 

    Alle Kinder unseres Viertels trafen sich, abends, nachdem wir die Hausaufgaben gemacht hatten, entweder hinter der Kirche oder im "Jardin public" um zu spielen. Oft waren wir mehr als zwanzig Buben und Mädchen die wir Versteckis, Ablösung oder andere Spiele, die heute fast vergessen sind, spielten. 

    Cache-cacheWir spielten am liebsten "Befreiung", eine Variante des Versteckis. Man stellte eine leere Konservenbüchse in einen auf den Boden gezeichneten Kreis, einer der Spieler – oder eine der Spielerinnen – schiesst die Büchse mit dem Fuss so weit weg wie möglich und alle, ausser einem Spieler verstecken sich, der Spieler der sich nicht versteckte muss nun die Büchse wieder in den Kreis stellen und dann die Versteckten suchen. Die gefundenen Spieler bilden eine Kette, wenn einer der noch versteckten Spieler die Hand des letzten Gefangenen der Kette 

    Cache-cache

    berühren kann, ohne dass er vom Sucher gesehen wird, sind alle gefangenen Spieler wieder frei, die Büchse wird wieder weg geshootet und aller verstecken sich wieder. Das kann oft sehr lange dauern, oft war es die Nacht die unser Spiel unterbrach. 

    In jedem Quartier gab es solche Gruppen die sich immer wieder zum spielen trafen. Ohne den grossen Morallehrer zu spielen, muss ich sagen dass wir wirklich gesunde Spiele hatten.

    Jede Gruppe hatte auch seinen eigenen
    Schlupfwinkel, unserer war in der Scheune des Milchmannes. Wir hatten ein Tunnel ins Heu gegraben der zu einer grossen Kiste führte, das war unser "Lokal". Wir fanden allerlei Tricks um uns vor den "Feinden" – Gruppen eines anderen Quartiers – zu schützen. Ich erinnere mich, dass unser "Tunnel" im Heu, über eine versteckte Trappe führte die den "Feind" in die Krippe des Pferdes unseres Milchmannes, im Stall unter der Scheune fallen liess !
     

    Die heutige Jugend verpasst sicher vieles ! 

    Was werden sie ihren Kleinkinder später erzählen können ? Schade !

    Alle Bilder sind aus dem Net 

     

    Cache-cache

     

          

     

     


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  • Mardi  19 novembre 2013 

    à 9h30 j'ai 7° sur mon balcon

    couvert

     

    Permis de conduire de mon papa, en 1926

     

    Coup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

    Le permis de conduire de mon papa

     

    Permis de conduire de mon papa, en 1926

     

     

    C’est la première voiture de mon papa. Il l’a photographié en 1926 avec ma maman au volant. Elle n’a jamais su conduire, mais avoue qu’elle a vraiment l’air à l’aise à la place du chauffeur!

    Regarde les pneus, ils sont pleins, sans chambres à air. C’est un cabriolet, comme ma première voiture, trente ans plus tard.

    Mon papa a passé son examen de conducteur de voiture automobile à Sion. Il n’existait pas encore d’auto-école, il a appris à conduire tout seul, avec sa voiture. Par contre les examens existaient déjà. Il nous a raconté comment son examen s'était passé. Je lui donne la parole, écoute…

     

    "L’expert m’a accompagné dans mon cabriolet pour l’examen, il m’a fait prendre la direction de Savièse, après quelques exercices de parcage il me dit de redescendre à Sion. Soudain, là, sur la petite route à travers les vignes, une roue d’automobile nous dépasse, gentiment, en sautillant, toute seule…

    Je dis à l’expert : "Tiens, il y a quelqu’un qui a perdu une roue… "

    À peine l’ai-je dit, voici qu’il n’y a plus d’expert à mes côtés, je me retrouve tout seul dans le véhicule…

    Pris de panique, l’expert, d’un saut par-dessus la portière, avait quitté le navire qu’il croyait en détresse !

    C’est une roue de ma propre voiture qui nous avait dépassé, j’avais perdu une roue ! Je m’arrête, remonte la roue, récupère l’expert vert de trouille et descend à Sion…" 

     

    Il a eu son permis conduire, malgré ou à cause de ça , c'est un petit carnet, genre passeport, avec l’énumération des quelques règles de circulation que l’on connaissait à l'époque. (photo)

    J'ai déjà publié ce texte sur mon Blog Wordpress le 24.6.2010  

    Aujourd'hui j'entre dans ma 84ème année.  

     

    Permis de conduire de mon papa, en 1926

     

     

     

     

    Dienstag, 19. November 2013

     

    Um 9h30 habe ich 7° auf meinem Balkon 

    bedeckt

     

     

    Die Autofahrprüfung meines Vaters

     

    Auf obigem Bild siehst Du das erste Auto meines Vaters. Ein Cabriolet, sieht es nicht gut aus, mit meiner Mutter am Steuer. Sie hat zwar nie fahren gelernt, hat aber grosse Klasse am Platz des Chauffeurs. Beide sind Klasse, Mamma und das Auto. Papa hat das Foto 1926 aufgenommen.

    Schau Dir die Reifen an, es sind Vollreifen, also ohne Schlauch! 

    Ich lasse Papa selber weitererzählen wie sich Sein Fahrprüfungsexamen abgespielt hat :

    "Als ich in Sitten mein Fahrprüfungsexamen absolvierte gab es noch keine Fahrschulen, ich habe mit meinem Auto allein fahren gelernt. Es gab hingegen schon ein Fahrprüfungsexamen. Der Experte kam mit mir, in meinem Kabriolet, wir fuhren Richtung Savièse wo ich einige Mal parkieren musste, dann sagte der Experte ich soll nach Sitten zurück kehren. Wir fuhren auf der schmalen Strasse durch die Weinberge den Hang hinunter, als ich plötzlich sah wie uns ein Autorad, ganz allein, überholte…Ich sagte dem Experten: "Da hat jemand sein Rad verloren..." Kaum hatte ich das gesagt, war der Experte von meiner Seite verschwunden und ich sass allein im Auto... Voller Panik war er über die Türe aus dem Auto gesprungen, er hatte das Boot das er in Not sah verlassen!

    Es war ein Rad meines eigenen Wagens das mich überholt hatte! Ich konnte das Rad wieder montieren und dann mit dem Experten, der immer noch grün war aus Angst, weiter fahren, nach Sitten." 

    Er hat den Führerschein trotzdem – oder wegen dem - erhalten, ein kleines Büchlein, wie ein Reisepass, mit den wenigen Verkehrsregeln die man damals kannte. 

    Ich habe diesen Text am 24.6.2010 schon auf meinem Blog Wordpress veröffentlicht.

    Heute beginne ich mein 84. Altersjahr...  

     


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  • Samedi 15 Novembre 2013 

    à 15h11 j'ai 18° sur mon balcon 

    Coup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

    Voilà à quoi sert notre argent

    Partiellement grand beau  

    Teilweise schön blauer Himmel

      

    Voilà à quoi sert notre argent

     

    Voilà à quoi sert notre argent… 

     

    Bien sûr,  il faut que nous payons des impôts, la communauté en a besoin, chez nous en Suisse, comme partout de par le monde. Mais l'emploi qui en est fait, bien que voté par le peuple, me fait parfois sortir des gonds !

    Rare sont les journaux - sinon inexistant - qui nous informent des stupidités qui sont commises par les politiques.

    Un de ses rares journaux qui met régulièrement le doigt là où ça fait mal c'est notre "petit satirique romand" VIGOUSSE. Dans le numéro du 8 novembre Laurent Flutsch lève le Secret dépense.Voilà à quoi sert notre argent

    Il nous relève que notre glorieuse armée a acheté de 1988 à 1999... écoute bien, 204'000 obus à sous munition pour la modique somme de 676 millions de nos bons francs suisse !  Tu sais ce que c'est la sous munition, tu as certainement entendu les cris d'horreur que poussent régulièrement les âmes bien intentionnées au sujet de ses petits bijoux - je cite Laurent Flutsch - qui éparpillent des Voilà à quoi sert notre argentmini-bombes dans le paysage et qui font 87% de victimes civils. Comme la Suisse est neutre, son armée n'agit donc que sur son propre sol et l'emploi de ces bijoux aurait le cas échéant décimé notre propre population !

    En 2012 nous - les suisses - avons sagement ratifié la Convention d'Oslo qui bannit ce genre de saloperies.

    Mais maintenant il nous faut détruire ces bijoux inutiles et chers… Chez-nous ce n'est paraît-il pas possible, la Suisse est si petite qu'elle risquerait d'être réduite en poussière. C'est donc à l'étranger qu'il nous faut déléguer cette tache. VIGOUSSE n'est pas en mesure de nous dire combien coûterait cette plaisanterie, "pour des raisons contractuelles", mais il juge raisonnable de l'estimer à une bonne trentaine de millions !

    Je conclu avec Laurent Flutsch:

    "Le contribuable suisse n'a qu'a laisser les militaires penser et dépenser"                  

      

     

    Voilà à quoi sert notre argent

     

     

      

     

    Samstag, 15. Oktober 2013 

    Um 15h11 habe ich 18° auf meinem Balkon 

    Schön blauer Himmel

     

     

     

     

    Voilà à quoi sert notre argent

     

     

    Da sieht man wo unser Geld hingeht… 

     

    Natürlich müssen wir Steuern zahlen, die Alkgemeinheit braucht Geld, bei uns in der Schweiz, wie überall auf der Welt. Aber der Gebrauch welcher damit gemacht wird, zwar vom Volk angenommen, macht dass ich immer wieder in die Luft gehe !

    Rar sind die Zeitungen - wenn nicht inexistent -  welche uns über die Dummheiten informieren, die unsere Politiker machen. 

    Eine dieser raren Zeitschriften ist der französisprachige VIGOUSSE, der sich selber als "kleine westschweizer Sartiere" bezeichnet. In der Nummer vom 8. November lüftet Laurent Flutsch den Schleier über "Geheime Ausgaben". Da sieht man zu was unsere Steuern gebraucht werden.

    Voilà à quoi sert notre argentEr eröffnet uns, dass unsere glorreiche Armee von 1988 bis 1999 sage und schreibe 204'000 Streubomben für den bescheidenen Betrag von 676 Millionen unsere guten Schweizerfranken gekauft hat !  Du weisst sicher was Streubomben sind, Du hast sicher schon gehört wie gute Seelen Schrekensschreie ausstiessen wenn sie von diesen kleinen Juwelen – ich zitiere Laurent Fluntsch – die Mini Bomben in die Landschaft verstreuen, Mini Bomben deren Opfer zu 87% Zivilisten sind. Da die Schweiz neutral ist, greift seine Armee also nur auf eigenem Boden ein. Die Benützung dieser "Juweln" hätte also, gegebenen Falls, unsere eigene Bevölkerung dezimiert!

    2012 haben wir Schweizer, schön brav, die Abmachung von Oslo ratifiziert, welche diese Art von Schweinerei verbannen.

    Aber jetzt müssen wir diese unbrauchbaren und teuren Munitionen vernichten… Bei uns sei dies scheinbar nicht möglich, die Schweiz ist so klein, dass im Fall eines Unfalls das ganze Land riskieren würde zu Staub gemacht zu werden. Esmuss somit im Auslanf gemacht werden… VIGOUSSE ist nicht in der Lage zu sagen was dieser Spass kosten würde, "aus vertraglichen Gründen dürfe es nicht veröffentlicht werden" wurde ihm gesagt, er glaubt aber, dass es vernünftig ist mit gut 30 Millionen zu rechnen ! 

    Ich schliesse mit Laurent Flutsch:

    "Der schweizer Steuerzahler muss das Militär denken und ausgeben lassen"                  

     

     

     

    Voilà à quoi sert notre argent

     


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  • Dimanche 10 novembre 2013 

    À 10h30 j'ai 8° sur mon balcon 

    Ciel bouché, pluie intermittente

      

     

    Où est-tu, bon pain...  

    Coup d'œil par ma fenêtre, la neige est descendue en dessous de 2000 mètres.

    Blick aus meinem Fenster, der Schnee ist unter 2000 Meter gesunken.

     

     

     

     

    Où est-tu, bon pain...

     

    Le bon pain du boulanger

    Il n'y a pas de jour sans que je ne m'énerve à cause du pain. Dans ma jeunesse, mon premier travail rémunéré était celui de porteur de pain. Je faisais tous les jours une tournée dans les différents quartiers de ma ville pour porter le pain du boulanger, frais, encore chaud du four aux clients qui l'avaient commandé.Où est-tu, bon pain...

    Métier aujourd'hui disparu, je l'avais fait pendant une année, en attendant de pouvoir commencer mon rêve, un apprentissage de cuisinier.

    Aujourd'hui tu ne trouves même plus une boulangerie dans tous les quartiers de ta ville et si tu en trouves une il arrive quelle vende le même pain insipide comme tu trouves dans les supermarchés: fait de pâte congelée, sans goût ! Tu peux mastiquer pendant une éternité la couenne, pour finir de l'avaler sans aucun plaisir. 

    Oui, où est-tu, bon pain de ma jeunesse…  

    Pain qui craque si joliment quand tu le déchires... 

    Pain qui sent si bon quand il est devant toi sur la table du petit déjeuner…

    Où est-tu, bon pain...

     

    Sonntag, 10. November 2013

    10h30 habe ich 8° auf meinem Balkon 

    verstopfter Himmel, zeitweilig Regen

     

     

    Où est-tu, bon pain...

     

    Das gute Brot vom Bäcker

    Es gibt keinen Tag ohne dass ich mich wegen dem Brot aufrege.  In meiner Jugend war mein erster "Beruf" Brotausträger. Jeden Tag verteilte ich die bestellten Brote, Où est-tu, bon pain... noch warm, frisch aus dem Ofen der Bäckerei, in den verschiedenen Quartieren meiner Stadt. 

    Beruf der heute verwschwunden ist, ich hatte ihn während einem Jahr ausgeübt in Erwartung, dass ich meinen Traumberuf beginnen konnte, eine Kochlehre. 

    Heute findest Du nicht einmal in jedem Quartier eine Bäckerei und wenn Du eine findest kann es vorkommen, dass sie Dir dasselbe geschmacklose Brot servieren wie im Supermarkt: aus tiefgefrorenem Teig ohne Geschmack ! Du kannst die Rind während einer Ewigkeit kauen, bis Du sie ohne jegliche Freude runterschluckst.

    Ja, wo bist du, du gutes Brot meiner Jugend…

    Où est-tu, bon pain...  

    Brot das so schön kracht wenn man's zerreist…

    Brot das so gut riecht wenn's vor dir auf dem Frühstückstisch liegt… 

    Où est-tu, bon pain...

    -   Auch ich teile "Brote" aus, niemand beklagt sich

    sie sind immer frisch ! 

     

     

     

     


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  • Vendredi  8 novembre 2013 

    à 11h j'ai 14° sur mon balcon 

    Légèrement couvert 

     

     

    Nouvel habit...  

    Coup d'œil par ma fenêtre / Blick aus meinem Fenster

     

     

          

    Nouvel habit

    Neues Kleid... Je crois que c'était le moment de changer de frocs. Depuis que je suis chez EklaBlog je me balade dans le même smoking guindé… Allez, c'est fait, je finirais par être beau comme tout le monde !

    Donne moi ton opinion, qu'en penses-tu ?

    Dès que je me suis regardé dans la glace je me suis plu…   

     

              

    Neues Kleid...

    Stärker: Unangreifbar

    und

    Topless ! 

     

    Freitag, den 8. November 2013

    Um 11 Uhr habe ich 14° auf meinem Balkon 

    Leicht bedeckt

     

     

    Neues Kleid

    Neues Kleid...

    Ich glaube es war Zeit aus meinen alten Kleider zu klettern. Seit ich bei EklaBlog bin stolziere ich im selben steifen Smoking durch die Blogosphäre… So es ist geschafft, Schlussendlich werde ich schön sein, wie alle anderen!

    Gib mir Deine Meinung , was sagst Duj dazu? Sobald ich in den Spiege schaute, habe ich mir gefallen…     

     

    Nouvel habit...  

    Das Kleid macht nicht den Mönch ! 

    L'habit n fait pas le moine !

     


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  • Dimanche 03 novembre 2013 

    À 11h15 j'ai 11° sur mon balcon 

    Il pleut

                                                                     

    ImagesCoup d'œil par ma fenêtre

    Blick aus meinem Fenster

     

     

    Images

    Encore quelques images que tu n'as peut-être pas encore vues… 

    Images

     

     

     

    Images

    Fumez tranquillement, la fumée

    rend tellement svelte !  

     

     


    Images

     

     

    Images                                                                      

     Rauchen tötet Deine Umgebung ! 

    -   aber zu langsam... ich werde zum Arsenik greifen !  

     

     

    Images

    -   Aussi fumeur ?

    -   Non, péteur ! 

     

     

    Images

    -   ist mir Wurst, bin schon tot ! 

     

     

    Sonntag, 03. November 2013

    11h15 ich habe 11° auf meinem Balkon 

    Es regnet 

     

     

    bIlder

    Das waren noch einige Bilder die Du vielleicht noch nicht gesehen hast… 

     

     


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  • Vendredi  1 novembre 2013 

    à 11h j'ai 11° sur mon balcon 

    couvert 

     

    Pas folle la vache 

    Coup d'œil par ma fenêtre / Blick aus meinem Fenster

          

     

     

    Pas folle la vache

     

    Malgré ton peux d'intérêt pour mes images-blagues je persiste et je signe. Aujourd'hui ce seront des blagues d'un dessinateur que j'aime bien: 

    Roger THISSELIN (ROTH) Né le 1 er Mai 1944, Dessinateur autodidacte se passionne pour la caricature. Voici quelques images de sa série de la Vache pas folle :   

     

     Pas folle la vache

     

         Pas folle la vache

     

    Pas folle la vache

     

    Pas folle la vache

     

    Pas folle la vache

     

    Freitag, den 1. November 2013

    Um 11 Uhr habe ich 11° auf meinem Balkon 

    Bedeckt

     

    Trotz dem spärlichem Interessen für meine Witz-Zeichnung Sammlung setze ich sie fort. Heute sind es einige Zeichnungen eines Künstlers dessen "Griffel" mir gefällt: 

    Roger THISSELIN (ROTH) geb. 1, Mai 1944, Zeichner, Self-made-man, Karrikaturen sind seine Passion (nter anderem). Oben einige Bilder aus seiner Serie "Nicht verrückt, die Kuh ! Texte schwer zu übersetzen, sei mir nicht böse wenn ich's nicht mache...    

     

     


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